Le mois de septembre est le mois que je préfère pour pêcher à la mouche, moins de monde au bord de l’eau, les eaux très basses, les postes des poissons plus évidents, de grosses truites migrantes pour se reproduire en amont, c’est le moment d’en profiter, car la fermeture de la pêche est proche. Continuer la lecture de

La passerelle du Chéran

Un endroit connu des pêcheurs hauts savoyards, c’est bien la passerelle située sur la commune de Cusy, enjambant le Chéran, cette rivière mythique si poissonneuse, et tant capricieuse. Cet ouvrage fait de deux piliers de grosses pierres sur chaque rive, relié par deux poutrelles de fer, recouvertes de traverses de bois de 2 mètres et comme parapet des câbles tenus par des ferrailles en forme de H , c’est branlant, mais solide (depuis la vieille passerelle n’existe plus, remplacée par une nouvelle). Continuer la lecture de La passerelle du Chéran

Le don d’observation

Pour le pêcheur en général, l’observation est primordiale. Les savants dans les laboratoires de recherches à l’aide de microscopes observent et pratiquent des expériences qui font avancer la science. Pour le pêcheur à la mouche c’est pareil, l’évolution de ce sport est le fruit de l’ observation et le savoir faire de nos ainés, qui, au fil des ans, ont fait évoluer ce sport. Continuer la lecture de Le don d’observation

Ne pas casser les coups

D’après les statistiques, la moyenne des coups cassés lors d’une partie de pêche dans les torrents de notre région est de 50/100, à mon avis je dirais plutôt plus.(c’est une moyenne!!!)

Voici quelques conseils pour éviter cet inconvénient. Avec la pratique du no- kill le poisson a tendance à être toujours sur ses gardes. Nous avons la chance d’être pourvus de rivières tumultueuses, ce qui limite sérieusement l’alerte de la truite.
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